IHR-PVS Toolbox

Appui aux efforts déployés par l’OMS pour concevoir des outils destinés à faire le lien entre le RSI et les PVS

Réalisation d’un atelier SARE à Bali pour préparer de futurs ateliers nationaux de rapprochement sur la rage (NBW-R) (source : FLI)

Brève description

Le projet vise à soutenir les efforts déployés par les pays pour identifier et piloter les risques susceptibles d’émerger à l’interface entre les êtres humains et les animaux. Il peut donc être considéré comme une contribution directe au travail de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui vise, en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA), à intégrer le secteur de la santé animale dans la mise en œuvre du nouveau Règlement sanitaire international (RSI, 2005). Le projet servira notamment à compléter la méthodologie conçue pour les ateliers de rapprochement entre le Règlement sanitaire international et les Performances des services vétérinaires (RSI-PVS) afin de soutenir les efforts déployés par les pays dans la conception d’une stratégie visant à améliorer le mécanisme de coordination entre les secteurs de la médecine vétérinaire et de la médecine humaine. Pour y parvenir, il est prévu d’élaborer des « boîtes à outils » ciblées sur des maladies spécifiques ou sur certaines thématiques actuelles, telles que la rage humaine transmise par des chiens, les résistances antimicrobiennes (RAM) ou d’autres menaces relevant de l’approche « Une seule santé ».

Objectifs du projet

Le projet servira notamment à compléter la méthodologie conçue pour les ateliers de rapprochement RSI-PVS afin de soutenir les efforts déployés par les pays dans la conception d’une stratégie visant à améliorer le mécanisme de coordination entre les secteurs de la médecine vétérinaire et de la médecine humaine.

Version : Novembre 2022

Faits

Durée

01.01.2019 - 31.12.2022

Budget

env. 650,000 euros

Pays partenaires

  • Mondial

En coopération avec

  • Organisation mondiale de la santé (OMS), Suisse

Institut de mise en service

Institut Friedrich Loeffler